French version of the above article.... Comment la philatélie française fournit une encyclopédieen miniature
Est-ce qu’il existe les jeunes qui peuvent trouver les pays balkaniques sur la carte? Comment on peut enseigner l’histoire sans trop de mal? Et est-ce qu’on peut trouver une musée imaginaire à la maison? Le clef de tous s’est trouvé dans les petits rectangles qui tout le monde a collé aux enveloppes pour affranchir des lettres pendant plus de cent cinquante ans. Beaucoup de détail derrière les événements notables dans le passé de tous les pays est représenté sur ses timbres, et la France ne fait aucune exception.
Les premiers timbres-poste français ont émis en 1849 et la politique se manifeste depuis ses débuts. La progression de Napoléon III du Présidence à l’Empereur, et aussi son insistance, après l’annexion de Nice et de la Savoie, d’être représenté avec son effigie laurée. La guerre franco-prussienne en 1870-71, avec Paris assiégé et le gouvernement français transféré à Bordeaux, a produit des pièces philatéliques parmi les plus passionantes de tout le monde. Cette guerre a fourni aussi les premiers courriers “par avion” avec les soixante-sept ballons montés expédiés de la capitale encerclée. Ces courriers sont aujourd’hui très recherchés par les collectionneurs. On peut reconnaitre aussi les timbres émis pendant la Commune. Et pendant ce temps le gouvernement provisoire à Bordeaux a fabriqué une émission d’urgence. Ils étaient les premiers timbres français imprimés par la lithographie et ils ont fournit une superabondance des types et variétés qui restent encore un grand sujet d’étude et de débat.
Les hasards variés de la guerre pour l’Alsace et pour la Lorraine sont bien marqués dans son histoire postale. Il y a pas moins de trois émissions d’occupation - des timbres spéciaux en 1870, et les timbres d’Allemagne surchargés pour leur utilisation pendant les occupations de 1916 et de 1940. Pendant la Première Guerre Mondiale, la France a émit une série de timbres qui ont portée une grande surcharge au profit des orphelins de la guerre. Ils n’ont p as réussit et il a fallu que les autorités postales les réémettent cinq ans plus tard - avec sa surcharge charitable très baissée.
Les français ont été toujours favourable aux timbres qui portent un don pour une organisation caritative, mais une série, émise de temps en temps pendant les années trente, pour “Les Chômeurs Intellectuels” ne susciterait pas beaucoup de l’enthousiasme dans aucun autre pays! Une autre cause perdue était celle pour l’amélioration de la dette publique, dit pour “La Caisse Amortissement”. Pour laquelle, chaque ans, entre 1927 et 1931, le gouvernment français a surchargé trois timbres mais c’est possible que plus en ont acheté par les philatélistes que par le public en général! Beaucoup plus accueillis favorablement sont les timbres au profit de la Croix-Rouge, émis chaque année depuis 1950.
La chute de la troisième république en 1940, et l’instauration d’un gouvernement à Vichy sous le Maréchal Pétain, était évident immédiatement dans les timbres de cette époch. République Française est devenue Postes Françaises et l’effigie de Pétain est montré sur les timbres ordinaires. Ainsi, pour les raisons d’economie, beaucoup des timbres des émissions précédentes étaient réémis, surchargés avec des nouveaux valeurs. Ce système a continué jusqu’au commencement de la Libération de France en 1944 et, comme toujours, les timbres ont montré immédiatement les changements - il y a eu des timbres provisoire, imprimés aux Etats-Unis pour l’utilisation en France. Cette émission américaine a perpétré une faute d’ortographe: le timbre d’un facial de1 franc 50 centimes était imprimé “1,50 francs”, c’est à dire, avec un “s” superflu.
Vers la fin de 1944, la troisième république a eu rétablit brièvement et immédiatement il y a des timbres du régime de Vichy qui ont été surchargé “RF”. La première émission principale des timbres au nom du gouvernement provisoire a eu imprimée à Londres par Thomas de la Rue. Judicieusement ces timbres présentés Marianne comme le symbole de France, d’après une gravure superbe exécutée par l’artiste français, Edmond Dulas, qui se basait à Londres à cette époque.
La libération de France a fournit aussi des timbres passionants, surchargés par les municipalités après la retraite forcée des allemands. La plupart de ces timbres étaient ceux du régime de Vichy qui montraient l’effigie de Pétain maintenant effacé par les lettres “RF” en charactères gros et gras, souvent avec la croix de Lorraine - le symbole du Général de Gaulle - et aussi la rubrique “Libre”. Pas toutes de ces émissions étaient autorisé par la direction de la Poste, et, en fait, beaucoup de faux existent dans le monde de la philatélie. Or, on peut trouver plusieurs des timbres de Libération authentiques assez moins chers en état neuf, mais ils rapportent un bon prix sur une lettre qui a voyagé par la poste.
Parmi les objets de collection les plus curieux au cours des dernières années sont les télécartes, mais les français ont émis leurs précurseurs il y a plus d’une centaine des ans! Ces “timbres”, ou, plus précisement, ces vignettes, étaient vendus au prix différents pour une conversation téléphonique d’une durée de cinq minutes - locale, interurbain et international. Les premiers, émis en 1880, sont rarissime, et ils atteintent souvent un prix plus de £1,000, mais il y a des autres qu’on peut acheter très moins cher - peut-être pour quelques livres. Ces “timbres” étaient supprimés peu à peu après l’arrivée des cabines téléphoniques à pièces.
En 1961 les PTT ont émis la première d’une série annuelle de timbres artistiques. Jusqu’à présent il y avait plus de 160 de ces réproductions, dont la plupart sont des chefs d’oeuvre français, et elles pourraient constituer une collection haute en couleur et pas trop cher. Il y a quelques ans j’était à Liverpool, chez un marchand de timbres, et devant moi un vieux achetait les derniers timbres de cette série française. Il se tournait vers moi et il se prononçait, “C’est comme on a une musée à la maison!”
En plus de l’alimentation d’une francophilie naissante, et de la mise à disposition d’un support pédagogique à l’histoire française, collectionner les timbres français dote des autres avantages pour les anglais. C’est bien connu que c’est toujours avantageux collectionner les timbres d’un pays à part du sien - les prix sont, en général, un peu réduits et il y a la possibilité de trouver une bonne affaire parmi le stock des marchands britanniques qui ne peuvent spécialisés en un seul pays étranger. Il y a souvent des pépites qui restent cachées et inconnues dans le rebut! Certes, avec une connaissance étroite de la philatélie française on pourrait faire des achats judicieux.
Bien sûr il y a des timbres français rare et de prix très forts, mais il y en a moins que, par exemple, leurs équivalents britanniques. On peut acheter les exemplaires moyens, même de la première émission française, pour quelques livres. Un raison en est que les collectionneurs français ont la réputation d’exiger les exemplaires parfaits, même pour les timbres classiques, et donc les timbres de deuxième choix sont disponibles au rabais plus forts que serait en vigueur pour les timbres de beaucoup des autres pays.
Ce n’est pas difficile de débuter une collection. En principe c’est mieux à obtenir le catalogue Yvert et Tellier - même d’occasion - qu’un équivalent britannique. Et bien sûr, on n’a pas besoin de ces fléaux des autres collectionneurs - un appareil pour voir les filigranes ou pour calibrer les dents. C’est un très petit peu des timbres français qui possède aucun filigrane ou des variations de dentelation. Tant à les timbres eux-mêmes, on peut acheter quelques pages déchirées d’un album, ou une collection de base à un prix raisonnable, en particulier chez des bourses ou aux foires locales. Très vite vous pourriez découvrir un désir de concentrer sur des aspects précis de la philatélie française. Après tous, pendant son premier demi-siècle la poste française a émis 103 timbres, alors que le dernier demi-siècle a vu plus de 2250!
17 April 2000